Fermez les yeux et sentez moi ce parfum ?
Quelles images vous viennent spontanément à l’esprit ? le Sud, l’Italie, les vacances, une belle et grande assiette de tomates – mozzarella ?
Pour moi, le parfum du basilic est synonyme de soleil, du Var, d’un grand plat de spaghetti nappés de ce pesto et saupoudré de gruyère râpé. Synonyme aussi de bon, de simplicité, de convivialité, et de générosité – tout simplement.
Pâtes, riz, tartines, légumes, soupe, poisson, … rien n’est trop beau pour parfumer ces basiques.
Temps de préparation : 15 mn
Temps de cuisson : 5 mn
Les ingrédients pour 1 pot :
- 2 bouquets de basilic frais
- 2 gousses d’ail
- huile d’olive
- facultatif : 1 pincée de piment d’Espelette
- sel et poivre du moulin
Pelez et dégermez les gousses d’ail. Plongez-les dans une casserole d’eau froide. Portez à frémissements.
Recommencez deux fois en changeant l’eau. Séchez-les.
Effeuillez les bouquets de basilic. Plongez les feuilles 2 secondes dans une casserole d’eau frémissante et salée. Egouttez-les sur du papier absorbant.
Placez le tout (ail et basilic) dans le bol d’un mixer. Versez un bon filet d’huile d’olive. Ajoutez le sel, le poivre et éventuellement le piment d’Espelette. Mixez par impulsions jusqu’à obtenir une belle purée homogène.
Versez le confit de basilic dans un pot. Versez un filet d’huile d’olive. Fermez-le et retournez-le.
Réservez le pot au réfrigérateur et après l’avoir dégusté et protégez le reste du confit de basilic sous une nouvelle couche d’huile d’olive.
Le saviez-vous ?
Le basilic est appelé dans le sud de la France « pistou », venant de la pâte onctueuse à base de basilic broyé ; alors que « pistar » signifie « pilonner » en niçois.
Colette T
Tout ce que j’aime …
Merci !
Colette T